Hoy

Est-ce que c'est grave d'être fan de film pour enfants à 17 ans ?

Parce que je crois que je pourrais rester deux jours à regarder les yeux d'Azur.

Je ferais volontier échange de mes yeux contre les siens, mais du coup je les verrais moins souvent. Sauf si je me regarde toute la journée dans un miroir.

Mais bon sang pourquoi est-ce qu'il n'y a pas UNE image où on les voit ?!

- Un ordre à exécuter mon commandant ?

- Oui : fermez-la.

Je l'avais dit, et je l'ai fait : j'ai vu Spider-Man 3 [avec Ion-Mar, Sol et Marie -Astrid, mais c'est pas le plus important.]

La critique de la presse et des spectateurs est plutôt flatteuse. Je vous donne quand même mon avis.

Sur le fond, je dois le dire, on sent des longueurs. En même temps, un fil de deux heures et des poussières, il y a forcément des moments où on s'ennuie.
Mais, il faut le reconnaître, on sort plutôt des sentiers battus, il y a pas mal de rebondissements. L'histoire d'amour Peter/Mary Jane ne se déroule pas aussi bien que prévu, et le comportement de Peter lui-même remet en cause son image de super héros sympa. Evidemment, Harry ne nous surprend pas vraiment en reprennant le côté Bouffon vert de son père, mais c'est quand même bon, quelques fois, de respecter les attentes du spectateur moyen.

On s'attarde également beaucoup sur les états d'âme des protagonistes dans ce troisième opus. Les malheurs de MJ à Broadway, l'égocentrisme de Peter, leurs problèmes de couple, le dilemne cornélien de Harry, et même les raisons qui font du méchant un méchant. C'est vrai que c'est parfois un peu lourd, mais ça donne une dimension très humaine (enfin, relativement, puisque peu de gens ont à décider entre venger leur père assassiné et pardonner leur meilleur ami) à l'affaire.

Sur la forme, il n'y a pas grand chose à reprocher. Les effets spéciaux sont époustouflants (bientôt les personnages de synthèse feront plus réels que les vrais). J'ai toujours autant envie de faire mumuse à slalommer entre les immeubles de Manhattan en regardant. C'est navrant. Bref. La seule chose vraiment pénible, ce sont les mouvements trop rapides de caméras. C'est non seulement un coup à choper une migraine, mais en plus c'est l'anarchie dans les scènes d'action. Particulièrement lourd dans le premier duel entre Peter et Harry.

Mais vous pouvez quand même aller le voir.

[Je dois quand même signaler que Marion a ENCORE pleuré à la fin. -_-']

Nous avons encore frappé

Hoy.

Bah non, rien, finalement.

Ah si : maudits soi les profs de SVT, et vive Jane Austen.

J'ai lu le bouquin, comme pas mal de gens.

Je l'ai trouvé nul, aussi, comme pas mal de gens. De toute façon, avec ce livre, c'est ou on aime, ou on déteste. L'idée de remettre en cause toute la religion chrétienne, et par-là notre histoire, me semblait inutile et violemment blasphématoire. Néanmoins, je ne suis pas réactionnaire. Je ne vais donc pas intenter un procès à Dan Brown. Après tout, il n'a pas caricaturé Mahomet

Enfin bref. Je suis actuellement en visonnage du film, lui-même pas terrible, mais ça m'occupe. Et je me disais que, même si c'est carrément tiré par le cheveux, c'est quand même vachement bien ficelé, comme histoire. Tout pourrait se tenir. Si ça se trouve, tout ce tient, même.

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Un moment plus tard...

Oh lala ! En plus c'est Hans Zimmer qui a composé la BO !

Je me suis faite une réflexion puissante, hier, en constatant que la vue d'une affiche de Spider-man 3 me mettait dans un état d'impatience terrible.

Là, je me suis dit : Pourquoi ne suis-je fan que de truc monstrueusement commerciaux ?

Exemple n°1 (cinématographique) :
- Pirates des Caraïbes.

Exemple n°2 (littéro-cinématographique):
- Harry Potter

Exemple n°3 (idem) :
- Eragon

Là, je crois que ça se passe de commentaires, non ? C'est terrible de manquer d'originalité à ce point.

I was thninking that I never spoke about Faerie Wars. That's incredible, isn't it ?

Not really, in fact. Even if it's hard to believe, I don't tell my whole life here.

So. Faerie Wars. Trilogy (I think it's a trilogy) written by Herbie Brennan, who's Irish (I'm falling in love with Ireland and its inhabitants), and obviously (she's out of my league ! Sorry. Mcfly's effects) fantastic.

The story is quite simple : there's a world (called the Empire, or the Kingdom) where live faeries. An emperor rules this world (the Purple Emperor), and his son, Pyrgus Malvae, is a bit stupid, and totally mad about animals. So, one day, Prince Pyrgus steal Lord Noctifer's golden phoenix. What a bad idea. For Noctifer is a Dark Faery (that means that he's opposited to the Light Faeries (I'm not sure that it's the right name), an ennemy of the Emperor, who'd be glad to kill his heir. And, stealing his phoenix, Pyrgus was outlawed, even if he's a prince.
So, in order to protect him, his father sends him into the human world.
And that's here that everything's going wrong.
Because, in there world, faeries are just like humans. I mean tall and whitout wings.

Oh ça me saoule, je finis en français. J'ai pas que ça à faire.

Donc, à la suite d'un sabotage, Pyrgus se retrouve en jolie petite fée dans notre monde, en... où ça, d'ailleurs ? Je sais plus. Angleterre peut-être. Enfin voilà. Il rencontre Henry, lequel va devenir son pote et l'aider à rentrer chez lui... puis passer lui-même dans le monde des fées...surprendre la soeur de Pyrgus dans son bain...être jeté en prison...tomber amoureux de ladite soeur....et sauver le royaume. Avec l'aide de Pyrgus et de sa soeur Holly Bleu.

De façon hélas fort malheureuse, l'Empereur Pourpre est tué, victime d'une machination des Démons (qui sont eux même alliés des Fées de la Nuit, et vivent dans un autre univers parallèle).

Le deuxième tome raconte comment Pyrgus va en ch*er pour accèder au trône, en se faisant piquer la vedette par son petit frère, son père réssucité et en tombant lui aussi amoureux, de Nymphalis Antiopa, fille de la reine des Fées de la Forêt, Cléopâtre. Henry est toujours là, il est toujours amoureux de Bleu, d'ailleurs. Tout ça pour finalement refiler le trône à sa petite soeur...

Et le troisième tome, alors ?

Eh bien lisez-le.

Le "tu-tu-tut' de Five Colors in her Hair.

Parce que ça change du "oo-oo-ooo"