Hier après-midi, alors que je glandouillais (eh oui, je suis pas allée en cours/ je sais, c'est mal, mais je le vis bien) je suis tombée sur un film (non, non, ça ne fait pas mal) qui s'appelait, pour ceux qui n'auraient pas lu le titre, "Le sourire de Mona Lisa". Le réalisateur n'est autre que Mike Newell (incroyable, je le connais) et le casting comprend une certaine Julia Roberts et une Kirsten Dunst. Vous allez me dire, c'est pas le tout, d'avoir des acteurs connus dans un film. Ce à quoi je répondrai que c'est tout à fait vrai.
Pour en revenir à nos moutons, ce film est une fiction qui se déroule dans une université pour jeune filles (riches) aux Etats-Unis, dans les années cinquante. Evidemment, les dites jeunes filles y vont uniquement pour faire genre, puisqu'après elles se marient et ne foutent plus rien à part préparer le repas et élever les gosses. Ah, zut, j'ai boulié les dîners mondains. Quelle étourdie...
C'est là que Julia Roberts arrive, pleine d'idées féminsites et tente de faire bouger tout ça à travers l'art, puisque c'est ce qu'elle enseigne.
Vous devinez comment ça fini, même si on admettra une ou deux nuances. Par exemples, Kirsten Dunst, qui s'était mariée, entamme une procédure de divorce parce que son jeune mari est une ordure qui passe sa vie à NYC. Ensuite, une autre fille (actrice dont je connais le visage, mais pas moyen de remettre la main sur son nom, ça me saoule) Joan, se marie (je vous ai dit qu'elles étaient là pour ça) et renonce à son entrée à Yale (quand même). Elle fait comprendre à sa prof que c'est un choix, et donc tout et bien qui fini bien.
Voilà. Je vous le conseille (aussi bien aux filles qu'aux garçons, ça fait notre éducation).