"I don't want another pretty face
I don't want just anyone to hold
I don't want my love to go to waste
I want you and your beautiful soul
You're the one I wanna chase
You're the one I wanna hold
I won't let another minute go to waste
I want you and your beautiful soul..."

Jesse McCartney (plus connu sous le nom de JMac' le BG)/Beautiful Soul

C'est-y pas mignon tout plein ?

Considéré par beaucoup (c'est-a-dire moi) comme la meilleure BD de tous les temps (avec Les Légendaires et les autres), le Collège Invisible, c'est plus mieux que Poudlard, plus gaffeur que Gaston Lagaffe et au moins aussi incompétent que la prof d'éco (c'est vous dire). A citer également la participation du célebrissime Dragounet dans son propre rôle.

Tome 1 : Cancrus Supremus

Guillaume est un cancre. En magie, il ne touche pas une bille.
Alors il triche pour être le premier de la classe.
Juste au moment où le Petit Peuple cherche un nouveau Magicien Suprême pour le protéger du mal absolu.
Et ils choisissent qui ?

Le premier de la classe du Collège Invisible. Guillaume, quoi !
Et là, ils sont pas rendus !

Tome 2 : Furor Draconis

Thomas a les poils qui poussent, Dragounet est incontrôlable, les Trolls et les Lutins jouent à cache-cache dans la cour, les Astreux boulottent le mobilier tandis qu'un inspecteur d'Académie se tâte pour fermer le collège.

Et Guillaume, dans tout ça ?
Il est toujours aussi nul en magie.

Bref, c'est une journée ordinaire au Collège Invisible.

Tome 3 : Astralum Cauchemardem

Dans l'astral, Thomas est toujours un loup-garou.
Dans l'astral, Adrien en veut encore à Guillaume.
Dans l'astral cohabitent les plus beaux rêvent et les pires cauchemars.
Dans l'astral, Mademoiselle Etrange a de si jolis yeux, surtout le troisième.

Alors où est le problème ?
C'est Guillaume...Il s'est bêtement perdu dans l'astral.
Et dans l'astral, personne ne l'entendra crier...

Tome 4 : Duelum Magickum

C'est la panique !
La délégation du collège de Péqaure, dans le Berry, a débarqué au Collège Invisble.
Ils viennent pour disputer un grand duel magique, profs contre profs, élèves contre élèves.
Où est le problème ?
C'est Merlin, le cousin de Guillaume. En magie, c'est le boss. Et Guillaume ? En magie, c'est toujours une quiche.
Alors, si le collège veut l'emporter, il n'y a plus qu'une solution.
Il va falloir tricher. A mort.

Tome 5 : Gestus Collegiem

Une nouvelle prof d'histoire est arrivée au Collège Invisible.
Et avec elle, ça va déménager.
Elle a dans l'idée de reformer l'ordre des Chevaliers Dragon pour combattres les Grands Destructeurs et veut sélectionner des élèves du collège.
Mais pour cela, il va falloir les tester !
Entre les Lutins qui essayent de guérir Thomas et les crises de jalousie des uns et des autres, on est pas rendu.
Franchement, Guillaume en armure, vous croyez que ça va le faire ?
Nous non plus...

Tome 6 :Galactus Destructor

Un Grand Destucteur est apparu sur Terre et menace d'anéantir la planète !
Les Conseils des Magiciens s'est réuni pour combattre le monstre !

Et Guillaume dans tout ça ?
Vou croyez qu'il va sauver le monde ?
...
Non, nous non plus.
Mais avec Guillaume, on ne sait jamais, sur un malentendu...

Je suis à fond sur une chanson (ça fait longtemps déjà, mais mon frère, qui est trop sympa (quand y veut) me l'a téléchargée). Elle est super connue, par exemple, je l'ai entendue hier dans l'emission où les gens pleurent quand ils ouvrent des boîtes avec des chiffres. Elle fait partie de la BO (eh oui, encore et toujours une BO) du film 1492. Je que ça s'appelle "Conquest of the Paradise".

Voilà. J'aurai bien voulu vous la faire écouter, mais j'ai la flemme. Ceci est donc un article totalement inutile.

Je vais le tuer, ce gars, si il se motive pas un peu ! C'est pas compliqué bordel ! Tu l'attrapes, tu l'embrasse et voilà, c'est bouclé !
Pas très romantique, mais bouclé...

Pour ceux qui n'auraient pas suivi, je reprends.

Fruits Basket est un manga, il faut donc le lire à l'envers, c'est normal. Cedit manga raconte l'histoire d'une famille maudite (douze personnes se transforment en animal du zodiaque quand ils entrent en contact avec une personne du sexe opposé, en gros) et d'une brave petite niaise (je suis désolée, mais on ne peut pas dire que Tohru soit une flèche) qui essaie de les délivrer de ladite malédiction. Pouquoi ? Bah déjà, il fallait bien un scénario, ensuite, elle est copine avec les douze, et enfin, elle est amoureuse du treizième (le chat, qui fait aussi partie de la malédiction pour une raison inconnue).

Je viens de lire le tome 18 et le 19 et il ne se passe rien ou presque.

Je résume :
- On apprend pourquoi Kakéru connaît Tohru
- La probable relation Yun-Yun (j'adore ce surnom ridicule)/Machi avance
- Ayamé et Miné s'aiment (ça, c'est vraiment inutile)
- Haru et Rin se remettent ensemble (ouais !)
- Momiji est devenu méchament mignon (le bougre, c'est un dessin)
- Torhu avoue (il était temps) à demi-mots qu'elle aime ce cher Kyo. Il était temps, parce que tout le monde le sait, sauf eux.

Voilà. N'empêche qu'il l'a toujours pas embrassée, ça m'énerve.

PS : deux articles dans la même journée, je me lâche.

Hier après-midi, alors que je glandouillais (eh oui, je suis pas allée en cours/ je sais, c'est mal, mais je le vis bien) je suis tombée sur un film (non, non, ça ne fait pas mal) qui s'appelait, pour ceux qui n'auraient pas lu le titre, "Le sourire de Mona Lisa". Le réalisateur n'est autre que Mike Newell (incroyable, je le connais) et le casting comprend une certaine Julia Roberts et une Kirsten Dunst. Vous allez me dire, c'est pas le tout, d'avoir des acteurs connus dans un film. Ce à quoi je répondrai que c'est tout à fait vrai.
Pour en revenir à nos moutons, ce film est une fiction qui se déroule dans une université pour jeune filles (riches) aux Etats-Unis, dans les années cinquante. Evidemment, les dites jeunes filles y vont uniquement pour faire genre, puisqu'après elles se marient et ne foutent plus rien à part préparer le repas et élever les gosses. Ah, zut, j'ai boulié les dîners mondains. Quelle étourdie...
C'est là que Julia Roberts arrive, pleine d'idées féminsites et tente de faire bouger tout ça à travers l'art, puisque c'est ce qu'elle enseigne.
Vous devinez comment ça fini, même si on admettra une ou deux nuances. Par exemples, Kirsten Dunst, qui s'était mariée, entamme une procédure de divorce parce que son jeune mari est une ordure qui passe sa vie à NYC. Ensuite, une autre fille (actrice dont je connais le visage, mais pas moyen de remettre la main sur son nom, ça me saoule) Joan, se marie (je vous ai dit qu'elles étaient là pour ça) et renonce à son entrée à Yale (quand même). Elle fait comprendre à sa prof que c'est un choix, et donc tout et bien qui fini bien.

Voilà. Je vous le conseille (aussi bien aux filles qu'aux garçons, ça fait notre éducation).

Parce que j'ai vu le making of de Pirates (avec ou sans "s" ? on s'en fout) des Caraïbes (avec ou sans "s" ? lol) II : ...euh... [une histoire de coffre, je crois]. Je suis en plein délire sur une phrase de ce bon vieux Jack.

Mise en situation :

Elisabeth : un jour viendra où vous pourrez enfin agir avec honneur.
Jack : je les attends, les moments comme ça. Je leur fais un petit signe de la main, quand je les vois passer...

Voilà. De toute façon, j'ai passé la moitié du premier film à me marrer devant le bateaux qui coulent en entrant au port, les baffes pas vraiment méritée et autres, et il paraît que le second est encore plus drôle, alors j'attends ça avec impatience.

Je vais peut-être acheter le DVD. Sauf que j'ai plus une tune....pas grave, mes grands-parents arrivent samedi.
Oui, moi aussi j'ai honte pour moi.

PS : en cherchant une image, j'ai trouvé le nom du 2e film : le secret du coffre maudit

PPS : je sais, c'est l'affiche du premier. Vous ne pensez quand même pas que j'allai me faire c**** à en trouver une du second ? J'ai tapé "Pirates des Caraïbes" (je confirme, il y a un "s")  sur gogol, ce cher vieux gogol, et j'ai pris la première image. C'était super intéressant. Et puis j'arrive pas à la réduire correctement...j'en ai marre....

   Je me la pète en mettant des titres en anglais...ne vous plaignez pas, les articles sont en français. Je pourrais très vous raconter ma vie in english.
   Pour en revenir au sujet de l'article, il s'agit de la musique...douce ou violence, a cappella ou avec orchestre, fort ou en sourdine, tout le monde écoute de la musique. Personnellement, je ne m'imagine pas vivre sans elle... J'écoute de tout, à part ce que je n'écoute pas. Il fut un temps où, jeune et influençable, j'écoutais du rap (pardonnez-moi mon Dieu...). Ceci s'expliquait par ma scolarisation dans un milieu que l'on pourrait qualifier de banlizard (quelle orthographe!). Depuis, je vais dans l'un des plus beau spécimen de lycée privé bourgeois qu'il m'a été donné de voir (Pierre Termier pour les intimes). Mais attention, je l'aime, mon lycée.
Bon, j'arrête de parler de ma vie.

   La musique nous permet de combler l'abominable silence de notre vie. Ces heures que l'on passe, seul, dans un bus, une chambre... Quoi de mieux qu'un sublime "Harry in Winter" pour vous rendre mélancolique et amoureux de la vie ? "The Battle" pour vous faire combattre aux côtés de ce cher Peter et d'Aslan sans quitter votre chaise ?... Could I have this kiss forever?...Because you live...Papillon...Into the West...Only the beginning of the adventure...Les Avions en papier...Vole...Right in front of you...Tell him...A new day has come...Caresse sur l'océan...I knew I loved you... des noms qui s'associent dans ma tête à autant de sensations et d'images, des souvenirs aussi.

Est-ce que votre vie a une bande originale ?

PS : après ce moment de pholisophie intense, je voulais dire que les images que je mets n'ont et n'auront sans doute aucun rapport avec les articles, c'est juste pour respecter le "paradise spirit" que je me suis mis en tête d'appliquer ici. Tiens, encore une phrase qui veut rien dire...