Je me souviens, un jour que j'avais une discussion philosophico-théologique (nous laisserons planer le doute quant à l'existence de ce terme) avec une des cathos de feu mon lycée - je fréquentais un lycée très bourge-catho, pour ceux qui l'ignore - qui tentait de me convaincre qu'un jour je serais touchée par la grâce (j'attends encore, des fois qu'il y en ait qui se pose la question)...
Excusez-moi, je ne sais plus où j'en étais, entre le petit bruit fort énervant de msn et mes digressions à répétitions.
Il s'agissait donc d'une discussion théologique où je lui disais "mais franchement, tu crois que s'il y a un dieu, il nous en voudrait de l'adorer au travers d'une religion ou d'une autre ?". Et elle de me répondre "oui".
Je ne me souviens pas si c'est avant ou après ce moment que mon rejet de la religion s'est définitivement installé...
Excusez-moi, je ne sais plus où j'en étais, entre le petit bruit fort énervant de msn et mes digressions à répétitions.
Il s'agissait donc d'une discussion théologique où je lui disais "mais franchement, tu crois que s'il y a un dieu, il nous en voudrait de l'adorer au travers d'une religion ou d'une autre ?". Et elle de me répondre "oui".
Je ne me souviens pas si c'est avant ou après ce moment que mon rejet de la religion s'est définitivement installé...
PS : celui qui me fait un commentaire pour me dire "chacun est libre de ses croyances", je lui suggère de relire ce que je viens d'écrire. Je relate une expérience personnelle, qui a eu part dans une réflexion mûrement aboutie et qui n'empêche pas un grand respect pour un phénomène aussi incroyable que la religion - toutes les religions. J'ai pas dit "Dieu n'existe pas et vous êtes des crétins de croire le contraire".