Vers chez moi, les gens sont spécialistes de ça. Ils aiment bien engueuler les gamins qui font trop de bruit en pataugeant dans le ruisseau, les promeneurs à chiens qui ne peuvent pas empêcher leurs animaux de pisser au milieu de la rue, bref, le grand banditisme du voisinage. Et ça, vous vous en doutez, ça m'exaspère passablement. On dirait une vieille réminiscence des lois primaires de la nature : on s'en prend à celui qui a le plus de mal à se défendre.
Vendredi 30 juillet 2010 à 13:58
Vous avez déjà remarqué la lâcheté des gens ? Non, sérieusement. Les voisins qui vous engueulent alors que vous jouez tranquillement dans le jardin, les vieux grognons qui vous abordent alors que vous promenez vos chiens dans la bonne humeur, bref, les gens qui préfèrent s'en prendre à des ados (ou à de jeunes adultes) parce qu'en général ça a moins de répondant, et puis comme vous êtes pas forcément au courant de tous les faits et gestes de vos vieux, des fois, la conversation est un peu obscure.
Vers chez moi, les gens sont spécialistes de ça. Ils aiment bien engueuler les gamins qui font trop de bruit en pataugeant dans le ruisseau, les promeneurs à chiens qui ne peuvent pas empêcher leurs animaux de pisser au milieu de la rue, bref, le grand banditisme du voisinage. Et ça, vous vous en doutez, ça m'exaspère passablement. On dirait une vieille réminiscence des lois primaires de la nature : on s'en prend à celui qui a le plus de mal à se défendre.
Vers chez moi, les gens sont spécialistes de ça. Ils aiment bien engueuler les gamins qui font trop de bruit en pataugeant dans le ruisseau, les promeneurs à chiens qui ne peuvent pas empêcher leurs animaux de pisser au milieu de la rue, bref, le grand banditisme du voisinage. Et ça, vous vous en doutez, ça m'exaspère passablement. On dirait une vieille réminiscence des lois primaires de la nature : on s'en prend à celui qui a le plus de mal à se défendre.
Vendredi 23 juillet 2010 à 17:29
** "Si ça se trouve, son interprète à lui non plus, il parle pas burgonde."
Anotherworld* est en vacances, et, bizarrement, c'est le moment ou Anotherworld* prend le moins soin de son blog. Pourquoi, me demanderez-vous ? Je vous dirais bien que c'est parce que j'ai la flemme, mais comme j'ai la flemme toute l'année, ça ne peut être ça. Quelle explication, alors ? Je vous dirais bien que c'est parce que je n'ai rien à raconter, mais ça ne doit pas être ça non plus quand on se penche sur le contenu habituel des articles qui fleurissent ici. Peut-être que ma passion s'est éteinte, et alors je me verrais dans l'obligation de mettre fin à cette aventure vieille de...4 ans, je crois. Regardez dans le menu, le jour de création du blog y est marqué. Non, je pense que la réponse vient d'un proverbe bien connu, édicté un jour grandiose par mon prof de maths de première : "trop de vacances tue le cerveau". Je vous proposerais bien de discuter cette fantastique assertion mais mon buble rachidien est en vacances. Ami lecteur, je vous annonce donc le retour triomphal d'Anotherworld* vers la mi-septembre.
*Eh oui, je parle de moi à la troisième personne.
** Vieux résidu de Kaamelott. Ne pas en tenir compte.
Anotherworld* est en vacances, et, bizarrement, c'est le moment ou Anotherworld* prend le moins soin de son blog. Pourquoi, me demanderez-vous ? Je vous dirais bien que c'est parce que j'ai la flemme, mais comme j'ai la flemme toute l'année, ça ne peut être ça. Quelle explication, alors ? Je vous dirais bien que c'est parce que je n'ai rien à raconter, mais ça ne doit pas être ça non plus quand on se penche sur le contenu habituel des articles qui fleurissent ici. Peut-être que ma passion s'est éteinte, et alors je me verrais dans l'obligation de mettre fin à cette aventure vieille de...4 ans, je crois. Regardez dans le menu, le jour de création du blog y est marqué. Non, je pense que la réponse vient d'un proverbe bien connu, édicté un jour grandiose par mon prof de maths de première : "trop de vacances tue le cerveau". Je vous proposerais bien de discuter cette fantastique assertion mais mon buble rachidien est en vacances. Ami lecteur, je vous annonce donc le retour triomphal d'Anotherworld* vers la mi-septembre.
*Eh oui, je parle de moi à la troisième personne.
** Vieux résidu de Kaamelott. Ne pas en tenir compte.
Mercredi 30 juin 2010 à 16:14
J'ai vécu ces deniers jours une expérience intéressante pour un individu vivant au 21e siècle dans un pays du G8 : une coupure de ligne téléphonique. Ce qui signifie, en gros, une disparition des moyens de communication modernes (type téléphone et internet) sans oublier la disparition de la télévision (heureusement que les antennes hertziennes marchent encore). C'était l'occasion ou jamais de faire un point sur la dépendance qui nous lie à la Toile. Ou pas.
Bah oui, parce que, finalement, depuis samedi, j'emploie nettement mieux mon temps. Exemple : plus besoin de courir jusqu'au téléphone huit fois par jour, surtout pour tomber sur des démarcheurs qui nous emmerdent à vouloir nous vendre des trucs dont on ne veut pas (et qui ne veulent pas nous foutre la paix une fois qu'on leur a dit "non"). Autre exemple : mes stats de téléchargement n'ont jamais été aussi basses.
Enfin, bref, à ma grande surprise, j'ai survécu sans en retirer aucun sentiment de frustration. Je suis trop fière de moi.
Bah oui, parce que, finalement, depuis samedi, j'emploie nettement mieux mon temps. Exemple : plus besoin de courir jusqu'au téléphone huit fois par jour, surtout pour tomber sur des démarcheurs qui nous emmerdent à vouloir nous vendre des trucs dont on ne veut pas (et qui ne veulent pas nous foutre la paix une fois qu'on leur a dit "non"). Autre exemple : mes stats de téléchargement n'ont jamais été aussi basses.
Enfin, bref, à ma grande surprise, j'ai survécu sans en retirer aucun sentiment de frustration. Je suis trop fière de moi.
Mardi 22 juin 2010 à 19:26
Dans la veine de mon article parlant de mon arrêt momentané de fonction cérébrale (ce morceau de phrase ne veut rien dire), je viens de vivre un autre de ces instants précieux. Il me fallait donc, cher lecteur, te le faire partager.
J'explique.
Mémère était en train de voguer sur les flots cowbloggiens, la BO de Ponyo sur la Falaise en fond sonore (d'où la métaphore de la mer, si tu me suis), quand soudain, une étrange incohérence musicale survient. [SUSPENS]. De la guitare électrique. Dans un morceau de Joe Hisaishi pour un film de Miyazaki, ça peut étonner*.
Mais non ! C'est juste que j'ai raté ma playlist et qu'une vieille chanson, sans doute mal-aimée, s'est glissé dedans. Je ne sais pas me servir d'iTunes, mais je survivrai.
Mais non ! C'est juste que j'ai raté ma playlist et qu'une vieille chanson, sans doute mal-aimée, s'est glissé dedans. Je ne sais pas me servir d'iTunes, mais je survivrai.
*ou pas, si tu ignores qui sont Hayao Miyazaki et Joe Hisaishi.
Dimanche 20 juin 2010 à 19:50
A l'heure où notre nation footballistique part en morceaux (en con-fe-tti, je dirais), sous le regard mi-incrédule mi-amusé de l'auteur, il y a des problèmes bien plus graves. Par exemple : à quel moment va-t-il commencer à faire beau ? Il fait 11° depuis deux jours. A cette époque de l'année, ce déficit de beau temps a des conséquences terribles : mon petit frère est obligé de réviser son bac de français pour passer le temps, mon père doit ressortir les joggings du dimanche, et j'ai dû retrouver mes chaussons fourrés polaire.
But where on earth did summer go ?
Pour éviter une totale déprime, j'ai même changé mon thème Google chrome pour mettre un peu de couleur dans cette vie déprimante. Non, effectivement, ça n'a rien à voir.
Soyons positif : si on ne peut pas faire la fête avec cette coupe du monde, on se rattrapera l'année prochaine**.
*rien à voir, c'est le titre de la chanson que je suis en train d'écouter. Les titres de chansons sont de bonnes roues de secours en cas de manque d'idée pour un article. Notons que j'ai eu du bol que ce ne soit pas une chanson en japonnais ou en italien.
Samedi 12 juin 2010 à 11:32
Parce qu'il existe en ce bas monde des phénomènes qui me laissent perplexe.
Par exemple : vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les photos sensées nous vendre des maillots de bain montrent des femmes (en maillot de bain) portant généralement des tas de bijoux ? Je veux dire, c'est sûr, c'est sympa d'avoir de gros bracelets qui te remontent jusqu'au coude * et un joli sautoir assorti à ton maillot mais réfléchissons deux minutes : quand tu portes un maillot c'est soit que tu veux aller te baigner, auquel cas les bijoux sont plutôt déconseillés (à moins qu'ils ne soient waterproof) ou alors que tu veux bronzer, auquel cas il vaut mieux éviter les objets susceptibles de laisser de belles marques blanches au milieu du bronzage, non ?
Oui, parce que je me pose ce genre de questions.
Oui, parce que je me pose ce genre de questions.
* attention, ceci n'est pas de l'ironie, j'adore les bracelets.
Mardi 1er juin 2010 à 17:18
Aujourd'hui, j'ai failli mourir étouffé avec un Mikado avalé de travers, parce que je rigolais toute seule devant un épisode lamentable de La Corda d'Oro. Je touche le fond.
Jeudi 27 mai 2010 à 21:58
Vous avez toutes (c'est un article de filles, dehors, mâles) déjà entendu ce proverbe "il faut souffrir pour être belle". Cette phrase à la con que nos mères nous sortent à 5 ans quand elles nous tirent les cheveux pour nous faire des tresses, à 10 quand les chaussures "de sortie" vous font des ampoules, à 15 quand on veut essayer l'épilation à la cire (T-T) et à 20 quand on va faire du shopping avec des chaussures à talons (sauf que là, il n'est pas impossible que votre mère vous dise "je t'avais dit de ne pas mettre ces chaussures").
Quand on y réfléchit, OK, ça se tient. Mais, est-ce que c'est pas un peu étrange, comme phrase ? Sur un plan historique, pensez à toutes ces femmes qui ont porté des robes sublissimes (type Renaissance, ou, plus proche, les robes à crinolines de Scarlett O'Hara*) et à la souffrance qu'elles ont enduré pour les mettre. Si on reprend Scarlett, il y a un passage d'Autant en Emporte le Vent où elle demande à sa mama de serrer le corset pour que sa taille fasse 51 cm. 51 cm, ça laisse rêveur.
Attendez, je me suis perdue en cours de raisonnement. C'est parce que je fais 25 choses en même temps.
Enfin, bref. Je ne crois pas que nos homologues masculins aient jamais à supporter la torture du corset ou instrument similaire**. Qu'on m'arrête si je me trompe.
Quand on y réfléchit, OK, ça se tient. Mais, est-ce que c'est pas un peu étrange, comme phrase ? Sur un plan historique, pensez à toutes ces femmes qui ont porté des robes sublissimes (type Renaissance, ou, plus proche, les robes à crinolines de Scarlett O'Hara*) et à la souffrance qu'elles ont enduré pour les mettre. Si on reprend Scarlett, il y a un passage d'Autant en Emporte le Vent où elle demande à sa mama de serrer le corset pour que sa taille fasse 51 cm. 51 cm, ça laisse rêveur.
Attendez, je me suis perdue en cours de raisonnement. C'est parce que je fais 25 choses en même temps.
Enfin, bref. Je ne crois pas que nos homologues masculins aient jamais à supporter la torture du corset ou instrument similaire**. Qu'on m'arrête si je me trompe.
C'est horrible d'être une fille.
* Quoiqu'il faille admettre que celles de Romy Schneider dans Sissi restent ma référence en la matière
**Les 30 kg d'équipements du légionnaire romain et le poids des armures ne sont pas pris en compte
Jeudi 20 mai 2010 à 12:04
Aujourd'hui j'inaugure un petit jeu que j'ai inventé moi-même. On appellera ça "qu'est-ce que tu trouves". Le principe, c'est comme Jacques a dit, tu dis "qu'est-ce que tu trouves" et tu rajoutes un truc derrière.
Exemple : qu'est-ce que tu trouve à Paris ?
Réponse : la Tour Eiffel.
[Damned, c'est vraiment nul comme concept. On pourrait en faire un jeu télé pour TF1]
Bon, en fait, l'idée, ce serait de poser une question, du style "qu'est-ce qu'on trouve dans mon placard ?" et que les lecteurs fassent des hypothèses. Mais, primo, c'est pas très drôle et secundo, je suis pas du genre à faire un cadeau à celui qui gagne à un jeu aussi pourri, alors...
Exemple : qu'est-ce que tu trouve à Paris ?
Réponse : la Tour Eiffel.
[Damned, c'est vraiment nul comme concept. On pourrait en faire un jeu télé pour TF1]
Bon, en fait, l'idée, ce serait de poser une question, du style "qu'est-ce qu'on trouve dans mon placard ?" et que les lecteurs fassent des hypothèses. Mais, primo, c'est pas très drôle et secundo, je suis pas du genre à faire un cadeau à celui qui gagne à un jeu aussi pourri, alors...
Lundi 3 mai 2010 à 20:39
Aujourd'hui j'ai assisté à deux trucs incroyables en même temps.
1) Un partiel sur un truc qu'on a pas fait en cours - disons plutôt pas fini - à savoir la Guerre du Péloponnèse.
1) Un partiel sur un truc qu'on a pas fait en cours - disons plutôt pas fini - à savoir la Guerre du Péloponnèse.
2) Une prof de fac qui interpelle ses étudiants en plein milieu dudit partiel pour attirer leur attention sur le fait qu'ils composent - pour une partie d'entre eux - sur les tous premiers sujets en couleur de l'histoire de notre UFR. Moment d'émotion intense, à tel point que lesdits étudiants se sont mis à applaudir.
Journée d'merde.
Journée d'merde.