Et j'ai accepté, que voulez-vous, ça fait depuis le moins d'août que j'attends une place. Mais merde, ils auraient pu me prévenir un peu avant, quand même.
Lundi 13 décembre 2010 à 22:55
Ma dernière semaine de cours était sensée être un truc cool, tous les trucs chiants qui pouvaient me tomber dessus étant déjà tombés (examens de contrôle continu, exposés, oraux d'anglais...). Je me faisais une joie, depuis quelques temps déjà, de profiter de cette semaine de calme après la masse de travail qui nous avait pris par surprise ce semestre. Et puis, ce soir, vers 17h, le téléphone sonne et je retrouve avec l'auto-école en ligne qui me propose de passer mon permis mercredi après-midi. Oui, dans un peu moins de 48h. "Euuuuh...mais c'est que quand je suis passée le mois dernier, on m'a dit pas avant le début de l'année prochaine alors...j'ai pas pris d'heures de conduite (depuis ma première tentative infructueuse - 13 août dernier) - Bah c'est pas grave, on va t'en caser quatre demain et deux mercredi matin".
Et j'ai accepté, que voulez-vous, ça fait depuis le moins d'août que j'attends une place. Mais merde, ils auraient pu me prévenir un peu avant, quand même.
Et j'ai accepté, que voulez-vous, ça fait depuis le moins d'août que j'attends une place. Mais merde, ils auraient pu me prévenir un peu avant, quand même.
Jeudi 25 novembre 2010 à 17:01
C'était parti pour être une journée relativement bonne : cours de 8h à 20h, avec une petite pause de deux heures quelque part, un jeudi normal, quoi. Et puis la prof d'histoire médiévale a eu la bonne idée de nous rendre les partiels de la semaine dernière sur Byzance, et il s'est trouvé que j'ai eu une note tout à fait honorable (14/20 pour les petits curieux), et des commentaires qui font plaisir (j'adooore quand on me dit que j'écris bien). Ma fin de journée s'annonçait, sur le coup des 14h, tout à fait supportable.
Et puis j'appelle ma mère qui me dit "au fait, tes cousins ont fait tomber une de tes étagères". Etagère vieille de deux mois à tout casser, qu'il m'avait fallu négocier âprement avec mon père. Bref, une étagère en forme de cube que j'avais eu pour un bon prix chez Ikéa, et qui accueillait mes collections respectives de D Gray-Man, Black Butler, Vampire Knight et autres Otomen - que des trucs culturels, quoi. Mais que voulez-vous, l'otaku moyen a toujours besoin de place pour ranger les nombreux volumes qu'il achète au gré de ses sorties à la Fnac. Tout ça pour un résultat qui est le suivant : l'étagère tombe, arrache un morceau du mur (mur gris anthracite dont je n'ai plus la peinture) entraîne le vase (plein) posé dessus, noie mon lit, le livre de la bibliothèque posé sur le lit en question, et quatre tomes d'Otomen*. Si vous ne me connaissez pas, sachez que j'ai une vénération pour les livres qui confine à la religiosité. Pas touche à mes bouquins, sinon je mords.
Et voilà comment on pourrit une fin de journée.
*Non ! Pas Asuka !
Un excellent titre, au demeurant. Le design est vraiment classe, et le concept même de l'otomen (à savoir des hommes qui ont des goûts pour des hobbies "féminins", type couture, maquillage, cuisine), génial. Depuis que je les ai fait lire à mon petit frère, il s'auto qualifie d'otomen, d'ailleurs.
Et puis j'appelle ma mère qui me dit "au fait, tes cousins ont fait tomber une de tes étagères". Etagère vieille de deux mois à tout casser, qu'il m'avait fallu négocier âprement avec mon père. Bref, une étagère en forme de cube que j'avais eu pour un bon prix chez Ikéa, et qui accueillait mes collections respectives de D Gray-Man, Black Butler, Vampire Knight et autres Otomen - que des trucs culturels, quoi. Mais que voulez-vous, l'otaku moyen a toujours besoin de place pour ranger les nombreux volumes qu'il achète au gré de ses sorties à la Fnac. Tout ça pour un résultat qui est le suivant : l'étagère tombe, arrache un morceau du mur (mur gris anthracite dont je n'ai plus la peinture) entraîne le vase (plein) posé dessus, noie mon lit, le livre de la bibliothèque posé sur le lit en question, et quatre tomes d'Otomen*. Si vous ne me connaissez pas, sachez que j'ai une vénération pour les livres qui confine à la religiosité. Pas touche à mes bouquins, sinon je mords.
Et voilà comment on pourrit une fin de journée.
*Non ! Pas Asuka !
Un excellent titre, au demeurant. Le design est vraiment classe, et le concept même de l'otomen (à savoir des hommes qui ont des goûts pour des hobbies "féminins", type couture, maquillage, cuisine), génial. Depuis que je les ai fait lire à mon petit frère, il s'auto qualifie d'otomen, d'ailleurs.
Vendredi 5 novembre 2010 à 21:06
Je viens de trouver mon chien en train de lécher un pot de Nutella. Je ne sais que penser.
Lundi 9 août 2010 à 18:23
Depuis quelques jours, je tente une expérience à visée sociologique : entretenir une page Facebook. Je sais, j'ai dit que j'étais contre, et bizarrement, je le suis toujours (oui, c'est une démarche compliquée, même moi j'ai pas tout compris). Mais j'en avais un peu marre d'être ignorante à chaque fois qu'on me parlait de cet instrument prodige qu'est Facebook.
Le problème c'est que, trois jours après avoir créé un compte, je suis toujours aussi perdue dans les méandres du réseau social virtuel. C'est moyennement étonnant sachant que j'ai dû y passer une heure (en cumulé - dont 20 minutes à chercher une photo de moi qui ne me fasse pas trop honte, et à la redécouper en y ajoutant un petit filtre rigolo [qui ne se voit pas sur Facebook, mais bon...]). En outre, mon intention étant de savoir un peu ce qu'étaient devenus d'anciens camarades de torture classe, mes connaissances n'ont pas besoin d'être plus étendues que ça.
Non, le truc qui m'énerve, c'est que ça me donne l'impression d'être une débile.
PS : En plus, Facebook c'est tout pourri, ils n'ont pas l'option je-fais-plein-d'habillages-super-beaux qui fait que Cowblog est si cher à mon coeur.
Non, le truc qui m'énerve, c'est que ça me donne l'impression d'être une débile.
PS : En plus, Facebook c'est tout pourri, ils n'ont pas l'option je-fais-plein-d'habillages-super-beaux qui fait que Cowblog est si cher à mon coeur.
Mercredi 30 juin 2010 à 16:14
J'ai vécu ces deniers jours une expérience intéressante pour un individu vivant au 21e siècle dans un pays du G8 : une coupure de ligne téléphonique. Ce qui signifie, en gros, une disparition des moyens de communication modernes (type téléphone et internet) sans oublier la disparition de la télévision (heureusement que les antennes hertziennes marchent encore). C'était l'occasion ou jamais de faire un point sur la dépendance qui nous lie à la Toile. Ou pas.
Bah oui, parce que, finalement, depuis samedi, j'emploie nettement mieux mon temps. Exemple : plus besoin de courir jusqu'au téléphone huit fois par jour, surtout pour tomber sur des démarcheurs qui nous emmerdent à vouloir nous vendre des trucs dont on ne veut pas (et qui ne veulent pas nous foutre la paix une fois qu'on leur a dit "non"). Autre exemple : mes stats de téléchargement n'ont jamais été aussi basses.
Enfin, bref, à ma grande surprise, j'ai survécu sans en retirer aucun sentiment de frustration. Je suis trop fière de moi.
Bah oui, parce que, finalement, depuis samedi, j'emploie nettement mieux mon temps. Exemple : plus besoin de courir jusqu'au téléphone huit fois par jour, surtout pour tomber sur des démarcheurs qui nous emmerdent à vouloir nous vendre des trucs dont on ne veut pas (et qui ne veulent pas nous foutre la paix une fois qu'on leur a dit "non"). Autre exemple : mes stats de téléchargement n'ont jamais été aussi basses.
Enfin, bref, à ma grande surprise, j'ai survécu sans en retirer aucun sentiment de frustration. Je suis trop fière de moi.
Mardi 22 juin 2010 à 19:26
Dans la veine de mon article parlant de mon arrêt momentané de fonction cérébrale (ce morceau de phrase ne veut rien dire), je viens de vivre un autre de ces instants précieux. Il me fallait donc, cher lecteur, te le faire partager.
J'explique.
Mémère était en train de voguer sur les flots cowbloggiens, la BO de Ponyo sur la Falaise en fond sonore (d'où la métaphore de la mer, si tu me suis), quand soudain, une étrange incohérence musicale survient. [SUSPENS]. De la guitare électrique. Dans un morceau de Joe Hisaishi pour un film de Miyazaki, ça peut étonner*.
Mais non ! C'est juste que j'ai raté ma playlist et qu'une vieille chanson, sans doute mal-aimée, s'est glissé dedans. Je ne sais pas me servir d'iTunes, mais je survivrai.
Mais non ! C'est juste que j'ai raté ma playlist et qu'une vieille chanson, sans doute mal-aimée, s'est glissé dedans. Je ne sais pas me servir d'iTunes, mais je survivrai.
*ou pas, si tu ignores qui sont Hayao Miyazaki et Joe Hisaishi.
Mardi 1er juin 2010 à 17:18
Aujourd'hui, j'ai failli mourir étouffé avec un Mikado avalé de travers, parce que je rigolais toute seule devant un épisode lamentable de La Corda d'Oro. Je touche le fond.
Samedi 24 avril 2010 à 18:42
Il vient de m'arriver un truc très très marrant. Je vous raconte ?
J'étais en train de lire un scan sur mon ordi, musique sur les oreilles, quand µtorrent me dit que mon film a fini de charger. Alors je ferme mon bouquin virtuel, je surfe pour retrouve le fichier, je clique dessus, et j'appuie sur le bouton stop du lecteur iTunes qui traîne sur la barre d'outil. Et là, phénomène paranormal : j'ai beau m'acharner, rien n'y fait, bordel, la musique ne s'arrête pas.
Normal, en fait, j'écoutais de la musique à partir de mon lecteur mp3.
Je suis tellement tête en l'air que ça me déprime.
J'étais en train de lire un scan sur mon ordi, musique sur les oreilles, quand µtorrent me dit que mon film a fini de charger. Alors je ferme mon bouquin virtuel, je surfe pour retrouve le fichier, je clique dessus, et j'appuie sur le bouton stop du lecteur iTunes qui traîne sur la barre d'outil. Et là, phénomène paranormal : j'ai beau m'acharner, rien n'y fait, bordel, la musique ne s'arrête pas.
Normal, en fait, j'écoutais de la musique à partir de mon lecteur mp3.
Je suis tellement tête en l'air que ça me déprime.
Vendredi 23 avril 2010 à 14:48
Je m'amusais à faire des listes de vocabulaire de géographie environnementale, quand, soudain, j'ai réalisé un truc.
Pour une fois, c'est pas très drôle.
* une idée de mon frère, en fait, après avoir mangé un McFlurry.
Pour une fois, c'est pas très drôle.
En fait, je me suis aperçue que j'avais très légèrement raté mon examen de ce matin en confondant risque naturel, anthropique et technologique. J'avais pas besoin de ça, j'ai déjà tellement la flemme de bosser pour mes partiels que ça me déprime encore plus. Je dois résister à toutes sortes de tentations qui deviennent toujours plus violentes en période de travail intensif (du style : "tiens, si je tondais le chien ? Il aurait mon chaud" ou alors "Tiens, je vais essayer ma nouvelle recette de glace à la vanille et mettre des M&N's dedans, si ça se trouve c'est bon"*). Est-ce que tout le monde vit la même chose ou est-ce une particularité liée à ma flemmingite ? Je me pose toutes sortes de questions philosophiques...
* une idée de mon frère, en fait, après avoir mangé un McFlurry.
Samedi 20 mars 2010 à 12:09
Vous croyez aux malédictions ? Moi, y'a des jours où je me pose la question. Hier, par exemple. Mon cours préféré, histoire de l'art médiéval, a été annulé. Après, j'ai eu une heure de conduite, et je me suis pris tous les feux rouges (non, je vous assure que je n'exagère pas. Le moniteur était désespéré au bout d'une heure). Enfin, je me suis rendue chez le médecin, et mon peu de goût pour les visites médicales s'est trouvé renforcé quand elle m'a dit : "bon, on va refaire une IRM, j'ai peur que votre deuxième ménisque ne lâche". Et là, que dire... Une belle journée, quoi.
Sinon, dans un registre tout à fait différent, je suis amoureuse de Google Chrome, d'une chanson de Christophe Maé, de Snow Patrol, des journées où il fait 25° et de Kaname.
Sinon, dans un registre tout à fait différent, je suis amoureuse de Google Chrome, d'une chanson de Christophe Maé, de Snow Patrol, des journées où il fait 25° et de Kaname.