Mardi 9 mars 2010 à 13:18

 Un nouvel habillage à base d'éventail, dont je ne suis pas entièrement satisfaite, je trouve qu'il manque quelque chose. Mais après avoir essayé de mettre un paravent, un sceau chinois et autres babioles asiatiques, je n'ai pas trouvé la solution miracle. Je dirais donc que c'est un choix de simplicité. C'est bien, la simplicité. 

Plus tard : Pour une raison que j'ignore, la photo de la bannière ne s'affiche plus en entier, alors qu'elle m'apparaît normalement sur mon éditeur. Les grands mystères de l'informatique...hier déjà, pour une autre raison pas du tout évidente, tout l'habillage en question a foiré, je me suis retrouvée avec des titres invisibles, des liens bleus et autres joyeusetés. Je ne suis déjà pas très douée en informatique, mais si en plus la plateforme y met du sien, on va pas y arriver. 

Lundi 8 mars 2010 à 11:55

Je lisais un article sur les Oscars pour me tenir au courant - et aussi parce que j'ai une revue de presse à faire tout à l'heure - et j'ai bien ri (discrètement quand même) en lisant ce qui suit. Je précise qu'il faut avoir vu Là-Haut ("Up" en version originale) pour trouver ça drôle. 

"When Up won Best Animated Film, it confirmed the trend that the best children’s films are now being written (rightly) for the people who pay for the tickets. In this case, director Pete Docter dared to offer kids a disquisition on grief, loss and courage, a white-haired pensioner in brown tweed on a Zimmer frame. Not forgetting the best ever animated dogs, gripped by a strange insanity at the trigger of the word “squirrel!”"

Je vous le traduis, parce que je viens de réaliser que tout le monde n'était pas bilingue (ce que je ne suis pas non plus, d'ailleurs, ainsi que la traduction le prouve). En gros, ça donne :
Que "Là-Haut" gagne l'Oscar du meilleur film d'animation, cela confirme la mode qui veut que les meilleurs films pour enfants sont désormais écrits pour les gens qui payent la place. Dans ce cas, le réalisateur Pete Docter a osé montrer à des enfants une réflexion sur le chagrin, la perte et le courage, un retraité grisonnant vêtu de tweed marron qui utilise un déambulateur. Sans oublier le plus génial des chiens jamais porté à l'écran, pris d'une étrange folie lorsqu'il entend le mot "écureuil !". 

Samedi 6 mars 2010 à 18:09

 J'ai mis un habillage en chantier, chantier qui, c'est bien connu, dure plus longtemps que prévu, en partie parce que je suis moyennement satisfaite, en partie parce que j'ai la flemme que j'ai un commentaire de texte à finir. Que ceux qui tombent dessus se rassurent donc, l'esthétique renversante de ce blog ne part pas à vau-l'eau. 

Pour ceux qui se poseraient la question : oui, c'était de l'ironie.

_____
Edit' : lundi 08 mars, 18h36. J'ai complètement oublié que j'avais commencé un habillage. Il est pas fini, du coup, mais je vais m'y remettre. 

Jeudi 4 mars 2010 à 21:29

 Nous vivons dans un monde, mesdames et messieurs, où il se passe des choses incroyables. Le  Dalai Lama fait mumuse sur Twitter, les profs font des cours particuliers dans un amphi plein, Raymond Domenech est sélectionneur de l'Equipe de France de Football, la Terre se déplace autour du soleil, Google Chrome permet de personnaliser son navigateur internet, on peut louer des films avec une télécommande et la TV d'Orange, on peut définir la musique par des 0 et des 1. Grande époque.

Samedi 27 février 2010 à 20:18

   Au-delà du fait que je me sente roulée après avoir mal rebouché un feutre de dessin qui a séché en 2 heures de temps (T-T), je viens, ami lecteur, t'entretenir d'un sujet sérieux. Ainsi que tu l'ignores sûrement, je suis l'héritière d'une grande famille pleine aux as sur l'arbre généalogique d'une famille possédant un certain nombre de choses sympas dans la jolie station de La Toussuire située sur la commune charmante de Foncouverte, quelque part au-dessus de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie. Si ce nom vous dit quelque chose pour une autre raison que celle qui a fait la http://www.la-toussuire.com/InfoliveImages/airelles.jpgune des JT de vingt heures hier, relatif à l'accident qui a tué deux pisteurs, j'en suis bien contente. La plupart des gens ont besoin d'un plan pour savoir de quoi je parle. 
   Non, moi je suis venue parler d'un article absolument formidable dans le Capital de cette semaine, intitulé Du Rififi dans les Ecoles de Ski. Si à la lecture, le client lambda peut douter de l'histoire du renard accroché au poteau de rassemblement de l'ESI, je vous assure que l'ambiance "règlement de compte à Oakey Coral (c'est ça, l'expression ?)" est assez bien rendue. L'article traite des luttes intestines entre écoles de ski concurrentes (Ecole du Ski français [ESF] et Ecole du ski internationale [ESI]) dans les stations, dans une ambiance proche des soap operas américains. Les méchants, dans cette histoire, sont les Rouges (l'ESF, donc), qui empêchent les Bleus (l'ESI, donc) de leur piquer des clients par des moyens pas forcément fair play (en accrochant des renards morts sur les poteaux de rassemblement, par exemple). J'étais pas au courant de l'histoire du renard, mais j'ai deux ou trois anecdotes sous le coude assez savoureuses. Etant génétiquement liée à un certain nombre des moniteurs de l'ESF, je n'ai pas eu à choisir mon camp dans cette histoire, d'une parce que la solidarité familiale existe, de l'autre, parce que je m'en fous complètement, mais j'aimerais quand même critiquer un peu tout ça. Surtout le point de vue du journaliste, en fait, qui donne tous les torts à l'ESF. Je dirais que dans l'affaire nul n'est innocent, mais c'est pas tellement un problème d'école de ski, si vous voulez mon avis. Comme dans tous les villages, il y a de vieilles inimitiés entre les vieilles familles et les clans, et cette histoire d'école de ski n'est, pour la Toussuire en tout cas, qu'une des facettes de ces qurelles de clocher. Tous ceux qui viennent de petits patelins me donneront raison, je pense.

   Non, soyez sympas, donnez-moi raison.

Mercredi 24 février 2010 à 13:42

   Je faisais mes devoirs - on pourrait discuter  la pertinence de ce terme, mais pas maintenant - en regardant la télé, ou plus exactement en écoutant MTV Pulse parce que je ne sais pas faire marcher les radios sur Canal Sat, lorsqu'a été programmée la chanson d'Avril Lavigne appartenant apparemment à la bande originale de Alice au Pays des Merveilles version Tim Burton. Je ne vais pas tomber en transe et vous dire que je meurs d'impatience de voir ce film parce que, très honnêtement, Tim Burton me laisse de marbre, mais j'ai trouvé l'idée d'une Alice un peu...gothique, rebelle, punk, appelez-ça comme vous voulez, assez intéressante. Oui car la jolie Alice blonde en robe bleu, c'est mignon cinq minutes, mais ça me rappelle un certain film de Disney. Je ne me souviens pas du livre, l'ayant lu de manière plutôt distraite un jour de tempête de neige, mais je pense que ça collerait bien, non ?
Burtonologues, LewisCarolologues, j'attends vos lumières.

Mardi 23 février 2010 à 13:44

    Mesdames, mesdemoiselles, messieurs (si vous passez, sait-on jamais...), je suis devant vous ce jour pour évoquer un sujet léger, un sujet fun, un sujet marrant. 
   Non, pas vraiment, en fait, mais je trouvais le procédé littéraire intéressant. 

 
http://www.last-video.com/wp-content/uploads/2009/09/La-princesse-et-la-grenouille.jpg
   Entrons dans le vif du sujet : la cuisse de grenouille. Car hier, je me suis déplacée jusqu'au cinéma, où, après avoir été poignardée de façon métaphorique par le prix d'une place, j'ai assisté en bonne compagnie à une projection du dernier produit des studios Disney (je me plante toujours en écrivant "Disney", je mets le "y" en premier), intitulé La Princesse et la Grenouille. Au-delà de ma passion pour les films pour enfants, j'y suis allée poussée par une intense nostalgie, car il y a bien longtemps (depuis Frères des Ours en 2003 si on ne compte que les films sortis au cinéma*) que Disney ne s'était pas donné la peine de piquer son job à Pixar. On pourrait faire un débat la-dessus, mais je suis en plein cours de géographie environnementale, j'ai pas le temps. 

   Je ne m'ennuierai pas à faire une critique poussée, disons simplement que la musique n'était pas vraiment à mon goût, j'ai la souvenance des bandes originales de La Belle et la Bête (qui a eu un oscar) et de la Petite Sirène qui a du me rendre trop exigeante. Je ne suis pas certaine que cette phrase veuille dire quelque chose. A part ça, ma compagne et moi-même sommes tombées d'accord sur le fait que la balade dans les marais souffre de quelques longueurs. En plus, c'est comme d'habitude, ils tombent amoureux sans que je comprenne pourquoi, mais ça, c'est un problème annexe.

   Pour finir sur une note amusante, j'aimerai dire ceci : sur les VHS que je visionnais étant enfant (j'ai su faire marcher un magnétoscope très tôt, on aurait dû se méfier), je me souviens que le château Disney qui précède le film était blanc sur fond bleu. Maintenant, c'est un truc en 3D avec un ciel, des étoiles, des drapeaux qui flottent au vent et un éclairage Disneyland Paris. Je ne suis pas si vieille que ça, pourtant...

*enfin, je crois
  

Samedi 20 février 2010 à 22:44

Ami lecteur, j'étais venue te parler des déboires d'une station de ski où le réseau internet ne fonctionne plus en plein milieu des vacances de Février, mais, en lisant les 43 mails qui encombraient ma boîte, j'ai trouvé mieux.

   J'ai trouvé une bande annonce qu'il faut voir pour se rendre pleinement compte du...pouvoir (?) d'Hollywood. 



   Et tout l'effet de mon article tombe à l'eau parce que je suis une incompétente qui ne parvient pas à poster une vidéo. Excusez-moi, je vais me pendre.

Bonne nuit.

Lundi 8 février 2010 à 18:18

    Bon, c'est bon, c'est réparé. Vous pouvez partir maintenant. Merci et à bientôt sur Anotherworld Airlines. 


Qu'est-ce que je m'amuse.

Lundi 8 février 2010 à 18:08

 Ceci est un article de temps de crise. Pas de crise économique, fort peu ressentie sur ce blog - on pourrait même dire fort peu ressentie tout court, mais étant donné que ce n'est pas le cas pour tout le monde, on ne le dira pas. J'applique la méthode usitée sur Europe 1 à l'heure où Ruquier fait des siennes, on fait genre que j'ai pas fait exprès de le dire parce que j'ai oublié qu'on était en direct. 

   Après cette introduction de deux heures totalement inutile mais distrayante, j'aurais une question métaphysique à poser : qui a cassé Deezer ? J'peux plus y aller. Moi triste. Moi demander si problème général ou problème personnel ? Vous n'en savez rien ? Bon, bah merci quand même d'être venu.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | Page suivante >>

Créer un podcast