Lundi 28 décembre 2009 à 15:33
Vendredi 25 décembre 2009 à 20:05
Je sacrifie à la tradition en vous souhaitant un joyeux Noël, Joy to the World, Peace & Love etc.
'tain, les gars, mon DVD de Noël ! TT
Mercredi 23 décembre 2009 à 11:59
BOUUUUUUUUUUHOUUUUUUUUUUU
Mais après-demain, c'est Noël.
PS : sentez-vous libres de me suggérer des trucs, je suis wide open.
Vendredi 18 décembre 2009 à 17:14
Dimanche 13 décembre 2009 à 19:44
Je ris bien en entendant cette proposition sur la réforme du lycée, qui viserait à faire de l'histoire une matière optionnelle en terminale S. Oui, c'est ça, on devrait aussi leur faire grâce de la philo, parce qu'après tout, à quoi ça sert la philo et l'histoire dans la vie quand on a un bac S ? C'est bien connu, qui connaît le mystère des chiffres peut se passer de connaître le mystère de l'homme.
Fichtre, j'écris des trucs, des fois...
Revenons-en au sujet. Objections les plus évidentes, du style "oui mais en terminale on a déjà vu toute l'histoire jusqu'à la chute du communisme, c'est juste de l'appronfondissement" ou encore "c'est une option, c'est pas une suppression".
Ma propre mère - oui oui, ma mère - m'a soutenue mordicus que l'histoire en terminale S n'avait aucun intérêt et que, de toute façon, arrivé au lycée, on a déjà vu (survolé de très haut serait unterme plus adapté) toute l'histoire et que ce ne sont que des révisions.
Merci Maman de désavouer de façon si subtile les études de ta fille, ça fait toujours plaisir. Tout ça parce que j'ai pas voulu faire du droit.
En outre, elle rajoute "mais ils ont choisi de faire des sciences, pourquoi leur imposerait-on une matière littéraire ?" Et là, j'ai répondu "Mais enfin, Maman, à l'école on cherche pas juste à former de futurs ingénieurs, on forme aussi des êtres humains". Je vous jure, je l'ai dit comme ça. J'ai la répartie lyrique, des fois.
Lundi 7 décembre 2009 à 11:38
J'étais prête à pârtir, la fleur au fusil, pour mon ignoble journée du lundi (enfin, demi-journée serait plus exact, mais ne chipotons pas sur les termes du sujet), lorsque l'envie de vérifier mes e-mails m'a prise. Grand bien me fît (oui, quel est le passé de "grand bien me fasse" ? vous ne vous êtes jamais posé la question ? Eh bah, moi non plus, jusque là) car un e-mail du secrétariat m'y attendait sagement pour m'annoncer l'absence du prof qui assure le cours de 12 à 14h.
Je sais que, fondamentalement, vous vous en foutez. C'est juste pour dire que, du coup, je me suis dit que j'allais écrire un petit article sur ce cher blog qui tend à dépérir, ces derniers temps. Je pourrais me la jouer en vous disant que je bosse comme une acharnée, mais ce serait mentir.
Tout ça pour nous ammener au sujet qui préoccupe les foules en ce lundi 7 décembre - ou, du moins, sujet qui devrait vous préoccuper un peu. Je veux bien sûr parler des tâches difficiles qui font partie intégrante du moment, pourtant pas désagréable, de l'Avent, à savoir :
1) Faire une liste de cadeaux pour les gens bien intentionnés qui veulent à tout prix vous acheter un cadeau
2) Se procurer un sapin de taille décente
3) Savoir comment décorer ledit sapin (et le reste de la maison, mais ça c'est moins difficile).
J'imagine que vous avez tous vécu ces moments angoissants, devant une page blanche, à se dire : "fichtre, que vais-je bien pouvoir commander ?" alors qu'une petit voix vous dit "ma vieille, tu as un partiel demain, revois tes priorités" ou bien "je me demande quand je pourrais alors voir Arthur et les Minimoys, il faut que j'appelle Machin pour savoir quand il est libre".
Morale : les cadeaux de Noël, c'est une dictature sociale.
Pour ce qui est du sapin, je la ferai assez courte. Mon rêve, ce serait d'avoir un énorme Nordman au pied des escaliers dans mon manoir, mais vu que j'ai pas de manoir, j'ai pas non plus d'énorme Nordman. Toutefois, au prix d'un combat acharné contre les autres clients de chez ce magasin suédois jaune et bleu, je suis parvenue à mettre la main sur un sapin plus grand que moi. Et vous ne pouvez pas imaginer le plaisir que cela me procure. Parce que les ruses pour faire en sorte que le sapin dépasse les 1m75 tous les ans, ça devenait déprimant.
Je vous ferai grâce de la dernière partie.
Oui, j'ai la flemme de l'écrire, et alors ? C'est encore mon blog, j'ai le droit de flemmarder un peu, quand même.
EDIT : je me rends compte que je n'ai pas du tout parlé du parcous du combattant qui consiste à trouver un cadeau pour les gens qui eux ne font pas de liste, mais finalement, est-ce bien la peine ?
Lundi 30 novembre 2009 à 10:15
Du coup, vous aurez droit à l'habillage de Noël en avance, (bande de petits veinards)
Vendredi 27 novembre 2009 à 16:30
*qu'il ait raison ou tort, c'est mon pays.
Consigne : disserter là-dessus.
Mardi 24 novembre 2009 à 12:45
J'étais en train de travailler - histoire de changer - lorsque je me suis prise à théoriser les signes qui montrent que l'on approche de la fin de la santé mentale. Le fait que cette phrase ne soit pas intelligible prouve que j'en suis moi-même atteinte.
Signe 1 : Rire à des blagues intellectuelles que vous ne pouvez faire qu'à vos camarades (du style Charles je-ne-sais-plus-combien qui était un nain (au sens propre du terme) mais qui est mort parce qu'il s'est cogné dans un linteau de porte).
Signe 2 : Quand vous commencez à être copain avec les gens dont on parle en cours (style Alexis de Tocqueville), ou que l'évocation des vos cours antérieurs (d'économie par exemple) déclanche en vous une vague de frénésie mêlée de nostalgie qui vous oblige à sortir votre portable pour sms-esser feu un camarade de terminale.
Signe 3 : Lorsque vos cours commencent à se parsemer de réfléxions philosophiques (voir article consacré ici)
Signe 3.2 : Stade plus avancé du précédent, où vous pouvez prendre pour excuse un certain ennui consécutif au cours magistral. Le stade 3.2 consiste à mettre des remarques du même genre dans des brouillons où notes personnelles :
Exemple : notes sur un livre traitant d'un cas de possession
"utilisation de drogues et remèdes (mais quelle utilité sur le Diable (j'ai failli écrire Zentradi. Morale : ne pas faire ses devoirs après Macross Frontier) me direz-vous ?) => le fait qu'ils soient sans effet confirme le caractère surnaturel de l'affaire".
Stade 4 : Je vous dirais qu'en j'en serais arrivée là.
Mardi 24 novembre 2009 à 12:21
Pendant ces cinq dernières minutes, j'ai été enviahie d'un optimisme total et débordant, le genre d'optimisme qui vous pousse à sortir dans la rue avec un panneau "FREE HUGS" en pleine pandémie de grippe A - à propos de grippe A, l'école de mon petit frère a été fermée pour huit jours, il est tellement content que son pseudo msn s'est transformé en "J'Aime la Grippe A". Il est génial, mon petit frère. Mais ne le lui dites pas.
C'est un concept auquel je ne réfléchis pas souvent, parce que refléchir à des trucs graves, ce serait gâcher mon intellect. Oui, on pourrait faire un débat là-dessus, mais ce n'est pas le problème.
Il y a 365 jours, j'étais au fond du trou, à l'apogée de ma dépression. Aujourd'hui, je râle parce que j'ai trop de travail.