Ce matin, quand j'étais en partiel d'histoire de l'art moderne (dont le sujet était "De Cosme Ier à Laurent le Magnifique : le rôle des Médicis dans l'essor des arts à Florence"), j'ai eu une super idée d'article. Comme vous vous en doutez, il m'a fallu faire taire cet élan lyrique au profit d'une composition pitoyable sur les aventures florentines, et, du coup, je me retrouve comme une idiote, et mon idée s'est dispersée aux quatre vents qui soufflaient dans mon cerveau.
Je m'en tirerai en racontant une petite anecdote qui, j'en suis certaine, réchauffera le coeur de tous ceux qui, à mon instar, sont passés par les bancs de la fac.
J'ai assisté, à l'occasion du partiel sus nommé, à une nouvelle démonstration de l'optimale organisation de l'université. J'explique : essayer de faire rentrer 200 étudiants dans un amphi de 150 places, c'est toujours un petit challenge en soi. Mais quand, en plus, il n'y a pas assez de sujets pour tout le monde, là, ça tient de la bonne blague. Vous me direz, pour choisir entre une dissertation d'une ligne ou une autre dissertation d'une ligne, c'est pas non plus trop problématique. Mais imaginons qu'il y ait eu un commentaire d'image, on se serait bien marré.