Je suis même forcée de passer un coucours pour lequel je n'ai
1) aucune envie d'être prise
2) aucune chance de l'être.
Et là, j'me suis dit... à quoi bon ? Laissez-moi mon année sabatique, je travaillerai plus tard.
D'abord quand je s'rai grande, j'voudrai être un raton-laveur.... Nos vies sont vraiment pas drôles. Ah désespoir !