Samedi 16 octobre 2010 à 13:40

    Hey...vous avez déjà été réveillé par une souris ? Non ? C'est pas terrible comme réveil. Attendez que je vous raconte. 

    Il y a quelques temps, je dormais paisiblement dans mon lit, la fenêtre grande ouverte sur la chaleur septemberienne quand, vers minuit, un bruit me tira du sommeil... Quel genre de bruit ? Comme si quelqu'un était en train de fouiller dans ma poubelle, des bruit de papier froissé et de plastique chiffonné. Première idée : lequel de mes idiots de frère a eu la bonne idée de se cacher dans ma chambre au milieu de la nuit ? Deuxième idée : et si j'allumais la lumière ? 
   Sauf que, là, ma poubelle bougeait toute seule. Je veux dire que les papiers dans ma poubelle bougeaient tous seuls. Et là, j'avais beau ne pas être très bien réveillée, j'ai quand même eu bien peur. 

   Après avoir réveillé toute la maison - la discrétion et une soudaine montée d'adrénaline ne font pas bon ménage - j'ai fini par retourner me coucher, après avoir créé un lit hermétiquement fermé grâce à ma moustiquaire à 9,90€ de chez Ikéa. 
   Et là, rebelote dis-donc ! Je suis réveillée de la même façon, sauf que c'était le sac Fnac pendu à ma chaise qui faisait du bruit, ma poubelle ayant été soigneusement évacuée de la chambre. 
   Et alors que, le coeur battant, je m'attendais à voir surgir n'importe quel monstre du bestiaire fantastique que je conserve dans un coin de ma tête, je vois une tête de souris, bientôt suivi par un corps, surgir du sac et commencer à se balader sur mon bureau. Tranquille. 


    Je sais pas comment cette saleté de souris est sortie de sa cage mais...

   Non, je plaisante. J'ai pas de souris. 

Dimanche 14 juin 2009 à 17:56

   L'année dernière, à cette heure-ci, j'étais quelque part entre la philo et le je-m'en-foutisme absolu. Je regrette le temps du je-m'en-foutisme plus que la philo. Je plains un peu les bacheliers millésime 2009 qui ont un week-end au milieu de leurs épreuves - mais certains pensent que c'est mieux, sans doute ceux qui sauront  résister à la vile attirance d'un week-end de débauche. Enfin, j'espère que ceux-là seront majoritaires. Quoique.

   Vous me connaissez, c'est à ce moment-là que je me mets à raconter une petite anecdote.

http://anotherworld.cowblog.fr/images/4617664866a2169b270m.jpg   Commençons. L'an passé, alors que notre "boîte à bac" de lycée passait en mode révisions-intensives-dépassons-les-96%-de-l'an-passé et que les stressés de la vie passaient en mode je-mets-des-boules-quiès-en-cours-pour-ne-pas-me-déconcentrer (et je vous jure qu'il y en avait), nous tînmes une discussion qui concernait un éventuel passage par le rattrapage. (C'est à peu près le seul genre de discussion que tu peux tenir avec tes camarades de classe entre deux cours, passée une certaine date). Et d'entendre une fille - qui avait de bonnes chances de passer par ledit rattrapage - dire qu'elle serait bien embêtée d'y aller. Vous vous dites que c'est normal, sauf qu'elle était embêtée parce qu'elle était sensée partir aux Seychelles et qu'entre les Serychelles et le bac, elle prenait les Seychelles.

   Je vous laisse méditer là-dessus.

PS : non, j'ai l'air blasée comme ça, mais en fait, ça me ferait bien rire de repasser mon bac. C'était marrant.

PPS : GPM, si tu n'as pas 18 en philo, c'est plus la peine de m'adresser la parole. D'abord.


 

Vendredi 17 octobre 2008 à 19:25

Ultime question :

Qu'en est-il du pot de confiture ?

Lundi 1er septembre 2008 à 12:17

Moi : Euh, bonjour, je m'appelle Mégane (comme la voiture).
Le groupe : Bonjour Mégane.
Moi : Voilà, ça fait plus de trois semaines que je suis pas allée à la Fnac.
Le groupe : Bravo, c'est bien.
Moi : Donc ça fait trois semaines que j'ai pas dépensé de l'argent utilement, que j'ai acheté uniquement des romans de plage à mon petit frère, un chapeau rétro, de la crème hydratante Le Petit Marseillais et un collier à ma maman.
Le groupe : C'est bien.
Moi : Je pense que je suis la pente qui mène à la futilité.
Le groupe : Bravo (Applaudissements)

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Sinon ? J'aime pas qu'on se serve dans ma bibliothèque sans permission, qu'on se barre avec les livres et qu'on oublie de me les ramener. Vous êtes prévenus.

Samedi 12 avril 2008 à 18:37

J'étais là, comme une (censuré) devant mon écran en cherchant un nom à donner au personnage qui allait apparaître dans un nouveau chef-d'oeuvre de mon cru, et rien ne me venait à l'esprit. Sauf Daniel, parce que le mec qui poussait alors la chansonette sur iTunes radio s'appelait comme ça. Mais bon...alors je cherche, je me creuse les méninges, et puis là, je me dis :"le prochain prénom que je vois fera l'affaire". Je me retourne pour regarder la bibliothèque, là, le drame. L'auteur du premier livre qui me tombe sous la main s'appelle Daniel... Franchement.

Mercredi 16 janvier 2008 à 14:18

 Je suis en manque de tout. Musique et écriture en tête de liste. Un peu d'amour aussi. Et puis j'ai plus de médicaments. It sucks. Tout ça parce que la médecine est muette devant ce mal qui me ronge la jambe et l'esprit. Je vais finir par écrire en alexandrins. Terrible, terrible, terrible. Je vais faire la grève du travail. Ce qui ne change pas vraiment de d'habitude me direz-vous. L'avantage c'est que j'ai une raison à donner aux profs. Je suis assez douée en méldoramme. Un jour j'aurais un Molière. Et je deviendrais présidente de la République, et Académicienne ensuite.

Lundi 7 janvier 2008 à 19:02

Ok, j'ai claqué...disons beaucoup d'argent dans des mangas débiles et pourris. Mais vous savez, je n'ai jamais su résister à un blond aux yeux bleus...

Tome euh...29 ? 30? 29 je crois, Gaara était mort. Révoltant. Ils m'avaient déjà piqué Sasuke, pouvaient au moins me laisser mon petit Gaara ! Quoiqu'il en soit, c'était une fausse alerte (bizarrement, je sens que ça n'étonne personne...). Reste à savoir si les méchaaaannnnts lui ont piqué son démon personnel. Ce qui serait fort triste. M'enfin...

Oui, je lis autre chose. Machiavel. C'est assez intéressant, mais le style est...louuuuurd.

Dimanche 14 octobre 2007 à 15:17

   Ok, vous avez perdu. On a tous perdu, en fait. Que ce soit les milliers de supporters du SdF, les Toulousains au Capitole ou les anonymes devant leur télé. Ok, on s'est encore fait avoir par ces fourbes d'anglais et particulièrement un blond. Je déteste les anglais blonds. Mais quand bien même cette coupe du monde s'arrête, j'aimerai quand même le rugby. Pas seulement à cause des calendriers mais aussi des souvenirs qui s'y rattachent et d'un numéro 18 légendaire, et d'un 14 pas mal, et de tous les autres.

Je verse dans le sentimentalisme sur mes vieux jours. A cause de quinze glandus qui se traînent par terre pour un ballon même pas rond. C'est la déchéance. En fait, non.

Samedi 27 janvier 2007 à 15:50

Sujet: en utilisant les procédés de l'ironie, décrivez un lieu ou une situation déplaisante.

Qu'y a-t-il de plus doux à l'oreille que l'expression du bonheur amical ? De tous les poèmes jamais écrits, il n'en est pas de plus mélodieux que celui composé par X. Sa façon unique d'aborder la vie me fascine. elle parvient avec une philosophie incroyable à dépasser ses problèmes. jamais elle ne reste abattue plus de quelques secondes". Et pour un peu qu'un ami lui remonte le moral, ce délai rétréci jusqu'à la non-existence. Les sujets sont sans cesse renouvelés : garçons, apparence, études. Et les questions existencielles : pourquoi suis-je si belle ? Comment se fait-il que mes camarades masculins m'adorent ? Comment rater mon Bac ? En vérité, rien n'est plus agréable que ces moments là, où l'on a l'impression d'être le plus seul au monde.

"and felt the loneliest man in existence"

Mardi 14 novembre 2006 à 18:07

Suite à un cours d'ECJS particulièrement épanouissant où Madly & moi avons passé presque une heure à décrire l'uniforme que nous reverions de porter pour aller à l'école (imaginez la classe que ça vous donne, n'empêche ?), la plus grande idée du siècle (...) à jailli de nos esprits torturés.

Il s'agit de relater les aventures de malheureux gens qui seraient les stéréotypes représentés (c-à-d nobles très nobles où dans notre propre lycée au sein d'un pensionnat très pensionnaire).  

Filles et garçons sont séparés mais ont tout de même des contacts ('fallait bien que ça arrive) ce qui va donner lieu des...aventures des plus intéressantes. Soupoudré de quelques fêtes, transgressions de règlement etc.

Je vous donne les noms des personnages principaux :
Iseult de la Forcade (Madly) Marie-Alexandrinne St Alban d'Evenneau (moi), Venus de Dordognant (Solène) Alexandre Montainville, Gustave Maurecourt-Andrésy, Stanislas de Villemomble-Férolles, Chloé de Vignemont...

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